La perruque de travers, le pas maladroit
Tu tournes, tu tournes le manège pour moi.
Tes guiguis, devant, derrière, en ribambelle
Te vouent, te vouent une amitié éternelle
La voix traversière, le coeur aux abois
Je vis, je vis au creux de tes bras
Ta mère, tes frères, qui t'aiment et t'admirent
Te suivent, te suivent dans tes doux délires
Toi, le grand joueur de mots, le joyeux drille
Fait rire, rire mes fils et notre fille
Mais le manège accélère et tu succombes
Je tourne, je tourne pendant que tu tombes.....
Deux ans, aujourd'hui que tu es parti. Je n'oublie pas.
1 commentaire:
Quoi dire, Hélianthine, à part... je comprends et je suis avec toi...
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